1) Relever les éléments de constats sur l’impact des moyens financiers mis en œuvre pour diminuer la place de la voiture dans les trajets
2) Relever dans l’extrait ce qui ralentit l’évolution de la décarbonation
3) Pourquoi la priorité mise sur les transports en ville a-t-elle peu d’impact dans la décarbonation ?
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Corrigé :
1) De 2000 à 2020, 83 milliards d’euros consacrés aux transports collectifs :
Milliards pour le TGV et 62 pour les transports en commun urbains
Pourtant, la part kilométrique de la voiture dans les trajets n’a baissé que de 3%.
2) Le poids des flux pendulaires liés au travail : 50 % des kilomètres parcourus par les ménages français
L’émiettement de l’urbanisation
L’importance des trajets périurbain-agglomérations
Pour une partie de la population qui a peu d’alternatives
3) Le déploiement des transports en commun réalisé en priorité dans les villes a amélioré la qualité de vie en ville et a réduit l’usage de la voiture dans les centres urbains. Mais, au niveau des émissions de carbone, l’impact est limité car il s’agit de trajets courts. Les émissions liées aux trajets entre les agglomérations et les zones périurbaines génèrent 25 fois plus de carbone que la circulation au cœur aux villes.